Si l'expatriation est un doux rêve caressé par certains, pour d'autres il est synonyme de parcours semé d'embûches à la Indiana Jones. L'expatriation peut se vivre comme une révélation mais aussi comme le pire des cauchemars.
Ayant vécu 6 mois en Estonie et depuis 3 ans à plus de 600 km de ma ville d'origine, je pense qu'un élément essentiel est le mental et la confiance en soi. Ensuite, il faut connaître les outils qui permettent de s'adapter et de comprendre les réactions des habitants de notre nouveau pays d'adoption face à notre comportement.
Les entreprises qui s'implantent à l'étranger l'ont bien compris et n'hésitent pas à investir dans des formations ou à avoir recours à des spécialistes qui sauront faire en sorte que la rencontre en deux civilisations totalement différentes ne dégénère pas.
Ces différences varient fortement d'un pays à un autre et même entre deux pays voisins. Pour celles et ceux qui se souviennent de la tentative de partenariat entre Renault et Volvo, le résultat fut catastrophique et le projet avorté. Même si des divergences techniques sont apparues, les négociations ont échoué et ce, par un manque de compréhension entre des Français habitués à un style de management directif et des Suédois partisans d'un management participatif.
Ceci se résume en deux mots : MANAGEMENT INTERCULTUREL.
Les entreprises qui souhaitent s'exporter considèrent désormais cette notion comme incontournable. Mais la personne qui souhaite s'expatrier doit impérativement apprendre à gérer cette barrière culturelle par rapport à des sociétés qui ne pensent absolument pas comme nous. Certaines n'ont pas la même notion du temps, de l'espace, des relations au travail, ...
Pour ma part, je m'attacherai à vous guider sur ce que je connais des Estoniens afin que votre intégration, qu'elle soit pour 1 semaine ou 1 an, se passe le mieux possible.
Ayant vécu 6 mois en Estonie et depuis 3 ans à plus de 600 km de ma ville d'origine, je pense qu'un élément essentiel est le mental et la confiance en soi. Ensuite, il faut connaître les outils qui permettent de s'adapter et de comprendre les réactions des habitants de notre nouveau pays d'adoption face à notre comportement.
Les entreprises qui s'implantent à l'étranger l'ont bien compris et n'hésitent pas à investir dans des formations ou à avoir recours à des spécialistes qui sauront faire en sorte que la rencontre en deux civilisations totalement différentes ne dégénère pas.
Ces différences varient fortement d'un pays à un autre et même entre deux pays voisins. Pour celles et ceux qui se souviennent de la tentative de partenariat entre Renault et Volvo, le résultat fut catastrophique et le projet avorté. Même si des divergences techniques sont apparues, les négociations ont échoué et ce, par un manque de compréhension entre des Français habitués à un style de management directif et des Suédois partisans d'un management participatif.
Ceci se résume en deux mots : MANAGEMENT INTERCULTUREL.
Les entreprises qui souhaitent s'exporter considèrent désormais cette notion comme incontournable. Mais la personne qui souhaite s'expatrier doit impérativement apprendre à gérer cette barrière culturelle par rapport à des sociétés qui ne pensent absolument pas comme nous. Certaines n'ont pas la même notion du temps, de l'espace, des relations au travail, ...
Pour ma part, je m'attacherai à vous guider sur ce que je connais des Estoniens afin que votre intégration, qu'elle soit pour 1 semaine ou 1 an, se passe le mieux possible.